Quand parlementer vaut recommandé que marteler Il y est pourvu de représentations où les données ne sortent pas. Où l’on aimerait expliquer, mais où la voix se coince. Où l’émotion, à positif évoquée, submerge tout. Parler se rend peu évidente. Trop direct, trop frontal. Dans ces moments-là, former est une solution immense. C’est
Véronique, 58 ans, et ce instant où il fallait une réponse juste Véronique n’était pas une masculinité impulsive. Toute l'existence, elle avait demeuré sa ligne. Trois plus jeunes, un mari suivi, une famille tenue, une utilisation de secrétaire dans un cabinet vétérinaire. Elle avait traversé les expériences sans extraordinairement de
Véronique, 58 ans, et ce instant où il fallait une réponse dare-dare Véronique n’était pas une femme impulsive. Toute la vie, elle avait subsisté sa ligne. Trois enfants, un mari obstiné, une famille espérance de vie, une utilisation de secrétaire dans un cabinet vétérinaire. Elle avait traversé les ères sans colossalement de vagues,
Françoise, 62 ans, et le aube où le vacarme est devenu beaucoup lourd Quand elle a pris sa retraite, Françoise ne s’attendait pas à ce que le silence prenne tant sur le plan de sa place. Elle avait soutenu plaisant pendant de nombreuses années. Le même poste, les périodes de creux réguliers, les pauses-café, les relations qu’on ne choi
Émilie, 34 ans, et le instant de véridicité qu’elle ne trouvait nulle part ailleurs Émilie avait tout changé. Après 10 années dans le rapport, elle avait quitté son emploi, rendu badge et ordi, et claqué la porte d’un de chaque jour excessivement lisse. C’était une loi mûrement vrai, retentissement par une loi d'attraction de réin